Selon une étude récente, 80 % des échecs de fusions à l’international s’expliquent par des difficultés interculturelles.
L’échec de la fusion entre Volvo et Renault ou plus récemment les difficultés entre Alstom et General Electric sont moins la conséquence de divergences stratégiques que d’une sous-estimation de l’importance des différences culturelles. Le succès d’Orange en Afrique n’aurait jamais été possible sans une prise en compte permanente de ces différences.
Ayant conduit tout au long de ma carrière des négociations avec une trentaine de nationalités différentes, je sais combien la compréhension des différences est un facteur de réussite clé de toute négociation dans un cadre international.